BERLAIMONT



No INSEE 590068.

Code Postal: 59145.

Département: Nord.

Région: Nord/Pas de Calais.


Situation:


Berlaimont est entouré des villages de : Sassegnies, Aulnoyes, Aymeries, Pont-sur-Sambre, Bachant, Locquignol et la forêt de Mormal.


Etymologie :


Les différentes variantes : Bairlemont, Berlainmont à la fin du XIIème siècle.
Berlemonte, Bierlainmont, Berlainmont, Berlaimont au XIIIème siècle.
Bellainmont, Bierlainmont au XIVème siècle.
On trouve encore : Berlenmont, Berlaymont, Barlaimont qui est l'orthographe depuis la fin du XVIIIème siècle.

HISTOIRE LOCALE:


Les Nerviens sont les plus vieux ancêtres connus.

Entre 192 et 254: des pièces de monnaies découvertes à la Grande Carrière, près de la forêt de Mormal attestent d'une présence. Les Nerviens après leur défaite face à César, entre Pont-sur-Sambre et Boussière ( la Sambre s'appelait alors SABIS ) en bons cultivateurs qu'ils étaient, sont restés sur place

1049. La comtesse du Hainaut crée des offices héréditaires et le Seigneur de Berlaymont est nommé échanson ( officier qui sert à boire )

1090 Thierry d'Avesnes est en révolte contre Baudouin II comte du Hainaut et lors d'une chasse dans la forêtde Mormal il est tué par son ennemi, Isaac, Seigneur de Berlemont

1110 La paroisse se crée. L'autel est donné à l'abbaye de Fesmy. Avant cette époque il n'y a pas d'archives

1117 Gilles de Chin ( 1100-1137 ), fils de Gautier, devient Sire de Berlemont avec titre de baron, par héritage de son oncle Isaac de Berlemont. Gilles de Chin possède des biens à Wasmes qu'il donne à l'abbaye de St Ghislain en 1133.

1120 La paroisse se développe. Odon, évêque de Cambrai donne l'autel de l'église primitive à l'abbaye de Fesmy qui possède un prieuré au lieu dit '' Le pont des moines ''

1129 Gilles de Chin, seigneur de Berlemont, grand voyageur, rejoint l'armée d'occupation en Palestine entre les 2 premières croisades et il s'y distingue par d'éclatants faits d'armes. Tout auréolé de cette gloire, il revient au pays et épouse Ide de Chièvres

1133 Gilles de Chin passe pour avoir débarrassé les marais de Wasmes d'un terrible dragon ( représenté par le Bouzouc ). Cette légende s'est transmise à travers les siècles. En 1657 on montre à Mons, la tête du dragon qui aurait été conservée dans une abbaye ( cette tête est celle d'un crocodile du Nil ). En réalité, Gilles de Chin fit assécher les marais ce qui fit reculer certaines maladies dues à la présence de moustiques et ,au Moyen-Âge, la victoire sur la maladie était assimilée à une victoire du bien sur le mal. Voilà notre monstre réduit à la taille d'un moustique, et le début de la légende.

1137 Berlemont est une baronnie importante appartenant à Gilles de Chin, premier chambellan du Hainaut ( officier chargé du service de la chambre )

1146 Le comte de Berlemont rencontre Saint Bernard à Liessies et part en croisade

1150 Sur l'ordre de Baudouin V, comte du Hainaut, dit le bâtisseur, car il a fait construire quantité de tours et murailles, le Seigneur de Berlemont élève les défenses de la ville

1186 Première trace écrite de BAIRLEMONT ( manuscrit de Valenciennes ). En 1196 BERLAINMONT ( titre de l'abbé d'Anchin ) En 1201 BERLEMONTE ( titre de Saint Aubert ) En 1265 BERLAINMONT ( première carte du Hainaut ) puis on trouvera BERLENMONT, BERLAYMONT, BARLAIMONT et enfin BERLAIMONT en 1788 ( scellé échevinal reproduit sur la cloche. )
Berlaimont est paroisse du décanat d'Avesnes.

Au XIVème, érection du château fort qui fût construit sur la rive droite de la Sambre, face à l'île, côté Aulnoye, à la place d'une forteresse d'origine romaine dont on verrait encore aujourd'hui les fondations.

1278 Gilles, sire de Berlaimont, possède le fief de Faym ou Faing (Cf: Saint Genois page 667, 710, 969 et 996).

1305 Henri, seigneur de Berlaimont, chevalier (Cf: Saint Genois page 1137).

1369 Marguerite de Berlaimont, veuve de Jean de Salines « le jeune », petite fille de Henri (Cf: Saint Genois page 1138).

1391 Gilles, seigneur de Berlaymont et de Pierewels, boutillier de Haynaut (Cf: Saint Genois page 111).

1396 Le Seigneur de Berlaymont va participer à l'attaque des Frisons ( territoire de la côte des Pays Bas ) qu'entreprend Albert de Bavière, comte du Hainaut.

1490 Le château fort du fameux bâtard de Berlaymont, terreur du pays, est pris d'assaut par Antoine Rollin, Seigneur d'Aymeries, grand bailli du Hainaut.

1507 Fondation du couvent des sœurs grises de l'Ordre de Saint François par Gilette de Berlaymont et son époux Louis Rollin Seigneur d'Aymeries (ou Anne De Rollin d'après d'autres historiens). Il fut démoli en 1793. Le couvent des sœurs grises etait situé à la place de l'église actuelle.

1543 François 1er prend Berlaymont malgré l'aide des Espagnols, Anglais et Allemands venus à son secours pour la défense du Hainaut.

1574 La baronnie est érigée en comté par Philippe II

1575 Le château est attaqué et incendié par plusieurs compagnies huguenotes françaises à la solde du Prince d'Orange . Don Juan d'Autriche envoie des troupes qui les prennent à revers. Selon les chroniqueurs du temps, ils attribuent la victoire à l'un ou à l'autre camp. Le 4 septembre le comte de Berlaymont est emprisonné à Bruxelles, on l'accuse d'espagnolisme.

1576 Le comte Charles de Berlaymont est libéré et entre dans les conseils de Don Juan d'Autriche. Le château est détruit.

1577 Le comte Charles de Berlaymont meurt de la gravelle. Il est présenté soit comme un homme d'autorité et de réputation et partisan du roi d'Espagne, soit comme un traître qui ne sait qu'être bonhomme par les protestants. Ce qui est certain c'est qu'il a placé ses nombreux enfants à des postes importants dont l'élection de Louis comme évêque de Cambrai, il n'a même pas fini ses études. Gilles de Berlaymont succède à son père dans le gouvernement de Namur et d'Artois

1578 Mort de Gilles de Berlaymont d'un coup d'arquebuse au siège de Maestrich. Tous les historiens reconnaissent qu'il fut aussi habile que brave.

1621 L'église possède un clocher à bulbe. Un pont à arches franchit la Sambre (Au lieu dit aujourd'hui Pont sur Sambre) et possède une porte d'octroi. Près de l'île des barrages sont associés à des moulins.

En 1643, le Grand Condé après la bataille de Rocroi, s'empare du château de Berlaimont et l'incendie, de même que tout le village et l'église. Il ne reste aucun vestige de l'ancienne demeure de ces seigneurs.

1671 La nouvelle église est bâtie, avec des débris de l'ancienne et des pierres du château (elle renferme une cloche de 1788). La tradition veut que le roi Louis XIV ait autorisé les habitants à tirer gracieusement de la forêt de Mormal les chênes nécessaires à la charpente du clocher.

1688 Construction de la maison du Prieur dont une pierre au linteau d'une habitation de la Grand Rue rappelle cette date

Avant la Révolution de 1789, Berlaimont était le siège d'un bailliage seigneurial.

1792 De graves désordres sont occasionnés par les habitants des villages voisins qui saccagent plusieurs riches maisons et coûtèrent la vie à plusieurs personnes. La garnison du Quesnoy ramène le calme.

1793 Démolition du couvent des soeurs grises.

1825 Construction de la mairie

1850 Construction d'une maison école de garçons. L'école des filles est installée dans une maison appartenant à la fabrique qui la loue à la commune

1858 L'industrie est représentée par une sucrerie, 2 chantiers de construction de bateaux, 3 brasseries, 2 clouteries, 3 forges de maréchal, un moulin à eau à farine, un moulin à vent, 2 fabriques de poteries, 2 marbreries, une tannerie, une carrière de pierres et une sablière.

1873 Berlaimont possède 2755 habitants

1940 Le 18 mai les unités de reconnaissance des 8e et 5e Panzers Divisions traversent la ville et vont se heurter au 4e régiment de cuirassiers dans le forêt de Mormal

1944 Combat entre résistants et troupe allemande en retraite. L'église est incendiée

Les COMTES de BERLAIMONT:

Deux de ses seigneurs furent aux croisades Eustache de Berlaimont et Gilles de Chin. Selon la légende, c'est ce dernier qui terrassa le dragon célèbre dans l'histoire de la ville de Mons.

Deux autres furent grand baillis du Hainaut, Jean de Barbençon et Gérard de Berlaimont. Tous ces seigneurs furent des personnages importants et jouèrent des rôles dans l'histoire politique.

Un autre fut Archevêque de Cambrai, un troisième Général des troupes espagnoles qui figura dans une foule de batailles des Pays-Bas.

Un comte de Berlaimont fut à l'origine de la campagne des Gueux qui devait arracher la Hollande à l'Espagne.

« Beaucoup de Seigneurs et nobles s'assamblerent, et firent des confederations à l'hostel de Culembourg à Bruxelles, par l'induction notamment du Seigneur de Brederode, et formerent en ladite maison une requeste, tendant à l'abolition des placarts rigoureux de l'inquisition: et furent bien en nombre de deux cens qui allerent en ordre, deux à deux, presenter ladite requeste à Madame la Duchesse de Parme Gouuernante. Laquelle les voyant de sa chambre, entrer en la Cour, estonnée de chose si extraordinaire, demanda au Comte de Berlaimont, là present. Qui sont ces gens là ? Et à quoy tendent-ils ? Le Comte qui sçauoit la menée de leur confederation, et le but de leur requeste, repartit ces mots, Madame ce sont des Gueux » (Pierre COLINS, Histoire des choses les plus memorables advenues en l'Europe depuis l'an onze cens XXX iusques a nostre siecle. Seconde Edition, Tournay, 1643 - pp. 511 et sv. Confederations des Seigneurs à Bruxelles, & leur requeste presentée à la Duchesse de Parme).

JAN VAN EYCK (Maaseik ? V. 1390 – Bruges 1441) L’Homme au Turban (1433) Panneau 33,3 x 25,8 cm.

« Ce petit chef-d’œuvre de Jan van Eyck est généralement considéré comme un autoportrait. Cette déduction repose essentiellement sur ce regard caractéristique. L’Homme fixe le spectateur comme s’il s’observait dans un miroir. Cette même technique se retrouve également dans les autoportraits de peintres tels que Rubens et Ensor. Dans un inventaire du comte Arundel datant de 1655 environ, il est fait mention d’un autoportrait de Jan van Eyck par lui-même. On a découvert récemment que l’expert anversois Pieter Stevens a vu dans cette collection un petit portrait du Comte de Berlaymont portant la date de 1433. »

La légende de Colon remonte au milieu du XVIIIe siècle. A l’époque, la Hesbaye brabançonne est encore boisée et Folx-les-Caves est sous l’autorité du comte de Berlaimont, seigneur de Jauche. Depuis des mois, à l’orée du bois des Caves, un mystérieux brigand détrousse les marchands de passage et disparaît aussitôt. Finalement reconnu par une de ses victimes, le voleur est identifié: il s’appelle Pierre Colon. Sa légende est le prétexte historique de la "fête à Colon" qui, depuis 1988, anime Folx-les-Caves tous les premiers week-ends d’octobre.

En 1744, le comte de Berlaimont, qui vivait depuis quelques années en concubinage avec sa servante Marie Jeanne Dalthea et avait eu avec elle quatre enfants illégitimes, décida de « faire son salut » et de se séparer de sa concubine. Celle-ci prit très mal la chose et refusa d'être ainsi rejetée. Elle fit donc du scandale, venant frapper aux portes en criant des injures. Pour s'en débarrasser, le « généreux seigneur » décida de la faire séquestrer et s'adressa à un procureur pour rédiger la supplique destinée à être envoyée à l'official afin d'obtenir l'autorisation d'enfermement. Or le procureur auquel il s'adressa n'était autre que Renier Hubert Sandberg, l'archifisc de l'official de Liège, le procureur chargé des poursuites d'office devant l'official diocésain. Et c'est ce même procureur, qui était censé poursuivre les concubins, qui dressa dans sa supplique un portrait assez flatteur du comte de Berlaimont le qualifiant de « généreux seigneur » et « d'homme très doux », tandis qu'il décrivait, en des termes très durs, la conduite de Marie Jeanne Dalthea qui, refusant obstinément les « offres gracieuses » du comte, menait une « vie indécente et très scandaleuse (Archives de l'Etat à Liège, Officialité. Séquestrations, 13/4/1744). ». L'archifisc, cependant, ne se préoccupa absolument pas de sanctionner le comte qui, pourtant, s'était adonné au concubinage, l'un de ces délits qui normalement relevaient de la catégorie des délits réprimés avec une certaine constance.

A la Révolution, le dernier propriétaire de Mouvaux est le comte de Berlaimont.

Dénombrements de la seigneurie de Saint-Albin. Actes de Florent, comte de Berlaimont, et de Philippe, comte d'Egmont (2 pièces parchemin, 2 pièces papier, 1 sceau (fragment), 1 cachet, 1602-1663. - D FF188 - Archives de la ville de Douai).

1574. 15 mai. Noble homme Philippe de Berlaimont, fils de feu Jennot de Berlaimont, seigneur de Bormenville, fait relief.
1596. 29 août. Noble homme Philippe de Berlaimont cède la seigneurie à son fils Winand.
1601. 28 avr. Noble et généreux seigneur Phil. de Berlaimont l'ainé, déclare que le 13 mai 1598 il a cédé tous ses biens à Philippe, son fils, engendré en Béatrix de Brecht, sa première femme; celui-ci étant d'intention de se faire jésuite, les cède à son tour à son frère Winand.
1606. 18 août. Noble seigneur Phil. de Berlaimont cède à Winand, son fils aîné, les droits d'usufruit qu'il avait sur la seigneurie de Bormenville par la mort de sa femme Béatrix.
1706. 25 janv. M. le comte de Berlaimont, seigneur de Bormenville, fait relief.
1721. 5 août. Très-noble et généreux seigneur messire Phil. Franc. de Berlaimont, fils de Charles-Winand, comte de Berlaimont et de Marg. d'Outremont, relève la seigneurie.
1745. 24 nov. Seigneur Charles-Aimond, comte de Berlaimont, fait reconnaissance et dénombrement de la seigneurie.


BORMENVILLE: Elle fut le berceau de la famille de Berlaymont depuis le 15è siècle. Au 17è siècle, on y signale une “ maison forte ”. Il s’agit d’un bâtiment renforcé de tours auquel on accède par un pont-levis. En mauvais état, il sera reconstruit en 1773. Ces travaux dureront jusqu’en 1784.


Charles De Berlaymont, baron de Berlaymont, chevalier de la toison d'or, député de la noblesse des états de Hainaut, grand veneur de Brabant, seigneur de Péruwelz, Hierges, Hautepeene, gouverneur du Comté de Namur, né vers 1510, décédé le 4 juin 1578, inhumé à Namur, époux vers 1550, de Adrienne De LIGNE, décédée vers 1563, fille de Louis, seigneur de Barbançon et de Marie De GLYMES de Berghes.

1575 : Le château est attaqué et incendié par plusieurs compagnies huguenotes françaises à la solde du Prince d'Orange . Don Juan d'Autriche envoie des troupes qui les prennent à revers. Selon les chroniqueurs du temps, ils attribuent la victoire à l'un ou à l'autre camp. Le 4 septembre le comte de Berlaymont est emprisonné à Bruxelles, on l'accuse d'espagnolisme.
1576 : Le comte Charles de Berlaymont est libéré et entre dans les conseils de Don Juan d'Autriche. Le château est détruit.
1577 : Le comte Charles de Berlaymont meurt de la gravelle. Il est présenté soit comme un homme d'autorité et de réputation et partisan du roi d'Espagne, soit comme un traître qui ne sait qu'être bonhomme par les protestants. Ce qui est certain c'est qu'il a placé ses nombreux enfants à des postes importants dont l'élection de Louis comme évêque de Cambrai, il n'a même pas fini ses études. Gilles de Berlaymont succède à son père dans le gouvernement de Namur et d'Artois

Dont:

1. Gilles de Berlaymont Baron de Berlaymont est né vers environ 1550. Il est tué d'un coup d'arquebuse au combat en 1578 au Siège de Maastricht . Gilles a été employé du... au Baron de Berlaymont le 4 juin 1578. Tous les historiens reconnaissent qu'il fut aussi habile que brave.(www.ifrance.com/berlaimont/HISTOIRE.htm).

2. Floris De Berlaymont, Seigneur d'Ecaussines, Comte de berlaymont, Chevalier de l’Ordre, Gouverneur Souverain Bailli & Capitaine Général du Pays & Comté de Namur (Déclaration de Sa Majesté touchant les exceptions compétantes aux Nobles du Pays & Comté de Namur, du 18 mars 1599), décédé en 1620, époux de Marguerite De Lalaing, née en avril 1574, décédée le 21 février 1650, fille de Philippe, comte de Lalaing et de Marguerite De Ligne.

3. Lancelot de Berlaymont Seigneur de Beaurain est décédé en juin 1578. Il épousé Marie de Brimeu Comtesse de Meghen le 14 novembre 1571, née en 1550, décédée le 18 avril 1605.

  1. 5 et 6. Marie,Adrienne et Yolende De Berlaymont.

Florent, comte de Berlaymont, sgr. de Perweys (d. 1626).


Comté de Berlaimont:


1473 Antoine Rollin seigneur d'Aymeries et de Lens possède toutes les villes et seigneurie de Lens, Herchies et Jurbize qui seront inclus dans le Comté de Berlaimont.


Le comté regroupe plusieurs terres et seigneuries des villes et villages de:


Lens, Bauffe, Herchies, Masnuy-St Jean, Masnuy-St-Pierre, Moncheau, Pont et Quartes, Berlaimont, Neufmaison, Saintes, Sassegnies...


Documents/Sources:


Embrefs de Berlaimont: 1er série: du 18 mars 1611 au 3 juillet 1637 (Archives municipales de Berlaimont).

Embrefs de Berlaimont 2ème série: d'octobre 1641 au 27 février 1655 (Archives municipales de Berlaimont).

Robert Wilquin (rwilquin@waika9.com).


HYDROGRAPHIE:

La Sambre et le ruisseau des Arbreux.

Hameaux et Lieux-Dits :

La Grande-Carrière, Le Sarsbarras, La Tête-Noire, Le Hambu, Saint Michel (S.G.H.P.N. - Base NORDLIEU).

Relevé des lieux d'après les Embrefs.


DIVERS:

Altitude Moyenne : 141 m

Habitants : 3398

Superficie : 1319 hectares dont 86 en surface boisée.

Festivités : Fête du Bouzouc le troisième dimanche de mai.







Dernière modification : 20/02/06, 18:13:21